SelfBondage dans ma chambre

Catégories : Selfbondage auto bondage
il y a 4 ans

Seule sans mes colocatrices cette après-midi d'été m'a permis d'explorer une nouvelle façon de prendre du plaisir. Je me suis laissée aller à une séance de SelfBondage, autrement dit m'attacher toute seule et ressentir l'effet que ça me procurait.

Pour commencer j'ai rassemblé tout ce qui me semblait utile à ma petite séance.

Une paire de menottes à clé, deux bas de soie, quelques bandes de tissus, quelques pinces à linge et un petit vibromasseur

J'ai également récupéré du congélateur un sac entier de petits glaçons.

Pour commencer je me suis déshabillée complètement mis à part mon petit string.

Je me suis caressée un peu en m'imaginant plein de choses, mes seins commençaient à durcir, quelques frissons m'envahissaient. Ensuite j'ai enlevé de la poutre du plafond un panier en osier qui me sert de décoration, laissant seulement un petit anneau tout simple mais très solide.

Je vais utiliser cet anneau pour le jeu...

J’ai placé l'ensemble de la glace dans un bas et j'ai placé ce bas dans l'autre bas Ensuite j'ai placé le bas dans l'anneau de façon avoir la glace coincée en l'air, laissant ainsi pendre 2 brins du bas de l'autre côté.

Sur ces 2 brins, que j'ai enlacés ensembles, j'ai attaché les menottes par leur chaine a environ 1m50 du sol.

D'après mes calculs lorsque la glace aura fondue je pourrais tirer fort et défaire les bas du crochet, puis me libérer.

Mon excitation était montée d'un coup, mon cœur battait plus fort. J'ai enlevé mon string tout humide et je l'ai roulé en boule, puis je l'ai placé dans ma bouche. Pour le maintenir j'ai utilisé une bande de tissus bien serrée entre mes dents.

Je me suis attachée les chevilles bien collées avec 5 tours de bandes et de même les cuisses, avec 5 tours également juste au-dessus des genoux.

Pour tester mes liens j'ai sautillé dans la pièce, en me regardant dans le miroir.

Mes seins bougeaient de haut en bas, je me sentais tout humide à l'intérieur ...

Même en essayant je n'arrivais pas à défaire les nœuds de mes jambes et de mon bâillon.

Parfait me suis-je dis.

J'ai pris 2 petites pinces à linge que je me suis accroché sur les tetons et j'ai coincé sur une petite ficelle entre les 2 pinces les clés des menottes. Ca me donnait l'effet d'avoir un joli collier avec les clés de la liberté.

Avant de passer les menottes j'ai pris mon petit vibromasseur, en position intermédiaire et je me le suis glissée dans ma petite chatte toute mouillée. Les cuisses attachées ensemble, il était bien maintenu et commençait à faire son petit effet brrrrrrr brrrrrrrr.

Et là ce fut le moment tant attendu, le point momentané de non-retour, les menottes.

Je me suis penchée en avant et tant bien que mal je les ai attrapées, les bas étant assez élastiques. Clic sur mon poignet gauche ... pour le moment juste un clic, je peux encore sortir ma main. Et clic sur mon poignet droit ... pareil

L'émotion est à son comble, montée d'adrénaline, clic clic clic ça y est mon poignet gauche est prisonnier.... clic clic clic et voilà je suis prisonnière !!!! Premier sentiment, je suis fière de moi, mon scénario semble se dérouler comme je l'imaginais.

Mes mains sont derrière mon dos coincées et relevées en l'air. Mes fesses sont cambrées, écartées légèrement, la position est plutôt indécente. Mes seins pendent dans le vide et la ficelle des clés les tirent vers le bas. Je peux me tourner sur moi-même et j'arrive à me voir dans le miroir posé sur le sol de l'autre côté de la pièce.

Enfin les petites vibrations de mon god me procurent du plaisir lent mais efficace... Mphhhhhhh je commence à kiffer.

Deuxième sentiment, et m e r d e si la glace mettait trop de temps à fondre ?

Le doute commence à monter en moi... au bout de quelques minutes je me dis que je vais essayer de me libérer, tant pis pour le reste.

Je pense que le bas va lâcher si je tire dessus, mais bien au contraire, les 2 bas ensembles résistent.

Plus je tire, plus mes bras se relèvent quand je relâche mon étreinte, mes fesses prennent alors une position encore plus indécente.

Là je commencer à flipper, je suis contrainte de m'avouer vaincue, je n'arriverai pas à me détacher.

Troisième sentiment, imprévu ou pas pensé, c'est con mais la glace qui fond coule, et elle coule sur moi. Je sens le goutte à goutte glacial qui me tape sur le dos, puis chaque goutte dégouline le long de mes hanches puis entre mes fesses. J'ai beau bouger pour les éviter, elles reviennent au bout d'un moment Grrrrrrr

Mon petit cul est maintenant tout mouillé, j'essaye de regarder mais il me semble que les glaçons sont encore bien gros. Les bas ne sont pas prêt de me rendre ma liberté...

Quatrième sentiment, mes seins me pèsent, les 2 clés bougent en avant en arrière, les pinces les tirent vers le bas. Mon vibro me donne des décharges et me font MMMPPPHHHH dans mon bâillon, je sens mon string dans ma bouche tout trempé de salive.

Quand je regarde derrière moi entre mes genoux je vois mes fesses bien ouvertes et toutes dégoulinantes.

Je perds la notion du temps, mes bras me tirent en arrière, je dois garder l'équilibre tout en prenant du plaisir f o r c é par mon vibro. Je jouis intensément mais je ne sais pas combien de temps dure ce moment.

L'eau coule maintenant par terre, formant une petite flaque. J'essaye de tirer, je sens que le bas est un peu moins tendu qu'au début.

Super ça va venir.

Encore quelques minutes de mélange de douleur et d'excitation et enfin les bas passent par l’intérieur du petit anneau. Les quelques glaçons qui restaient ont été écrasé par mon dernier essai. Ouf à présent je respire, toujours debout les mains dans le dos.

La dernière difficulté est pour moi d'arriver à récupérer les clés des menottes, je me contorsionne et délicatement j'attr a p e une pince à linge.

Je l'ouvre, mon sein est libéré, ouffff, les clés tombent au sol en glissant de la ficelle. Je m’assieds par terre, c'est mouillé mais tant pis, je prends les clés et me délivre enfin.

J’enlève ensuite la pince à linge de mon autre téton ainsi que mon vibro.

Je m'étends sur le dos complétement, les bras écartés comme pour fêter ma victoire.

Je suis exténuée, courbaturée, mais libre oufffff mmmmmm. J’enlève mon bâillon et je jette mon string mouillé de l'autre côté de ma chambre.

Comme ce moment a été délicieux.

QUELQUES LIENS

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